Une vue de la vallée de la Molignée, prise à travers les ruines du château de Montaigle.
La lumière était déjà un peu dure à ce moment de la journée.
Sur la droite, on aperçoit une chélidoine, Chelidonium majus (Linnaeus, 1753), (herbe aux verrues) qui pousse dans la rocaille.
Pour l’anecdote, l’abbé Questiaux – naturaliste bien connu en région dinantaise – faisait parfois des démonstrations des propriétés curatives du latex jaune de la chélidoine, au collège Notre-Dame de Bellevue.
Etymologie: la grande chélidoine (du latin chelidon, hirondelle) doit son nom au fait que la floraison de cette papavéracée coïncide avec le retour des hirondelles.