Ce spécimen a été observé au bois de Lauzelle, dans une zone mixte de feuillus et de résineux.
Une espèce répandue et commune, la plupart du temps associée à des conifères ou à des forêts mixtes, en particulier là où le pin sylvestre est présent. Généralement insectivore, lorsque les pucerons des conifères deviennent rares, la coccinelle va s’étendre à d’autres espèces d’arbres, par exemple le chêne ou le sycomore. Elle se nourrira aussi de pollen ou de nectar, si cela devient nécessaire. Elle hiverne en tant qu’adulte. Bien qu’il soit facile de le voir quand l’insecte est actif, il est très difficile à repérer lorsqu’il repose sur des brindilles de pins, près de la base des feuilles.
Cette espèce est incomparable. Glabre, elle mesure au moins 5,5 mm. Sa livrée est orange ou rouge, parfois plus sombre, presque marron. Elle comporte normalement 18 marques noires; toutes ou en partie peuvent être légèrement jaune ou crème sur les bords. Le nombre de points peut varier de 0 à 22 et quelques-uns d’entre eux peuvent fusionner. Il existe une forme mélanique très rare (F. hebraea). Le motif du pronotum est distinctif. Les élytres sont deux fois plus longs que larges et le scutellum est évident quand ils sont fermés. Les supports antennaires sont visibles de face, les antennes sont plus longues que la largeur de la tête et la massue est plus longue que large. Les griffes apparaissent unique : la première est longue et pointue tandis que la seconde est beaucoup plus courte et tronquée.
Source: Website of the Watford Coleoptera Group
Animalia / Eumetazoa / Arthropoda / Hexapoda / Insecta / Coleoptera / Polyphaga / Cucujiformia / Cucujoidea / Coccinellidae / Coccinellinae / Coccinellini / Anatis ocellata (Linnaeus, 1758)